« Nous avons remarqué ces derniers jours que la victoire du Président Macky Sall à la présidentielle est attribuée à certains leaders politiques que nous jeunes Apéristes n'avons même pas aperçus dans l’arène politique au moment du combat. Certains autres politiciens, plus audacieux, vont jusqu'à revendiquer personnellement ce succès. Ce manège ne peut prospérer et il est quasi urgent de rétablir vérité. »
Les précisions sont de Amadou Thiam, jeune leader politique Apériste à Dahra.
Câblant Dakaractu, Amadou Thiam martèle qu'en " politique comme à la guerre, les victoires ne s'acquièrent qu'au front. Absents dans les moments les plus cruciaux de la bataille (convaincre les militants du Djoloff de l'élogieux bilan de Macky Sall), des habitués de l’après combat veulent s’autoproclamer vainqueurs sans avoir livré bataille. Mais à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire alertait déjà Corneille. Sur le terrain, nous n'avons vu que Samba Ndiobène Ka. Et ne pas le dire, serait trahir l'histoire. Notre coalition ne pouvait pas compter sur des leaders inconstants et sans conviction. Il nous fallait avoir un homme qui savait mettre en avant le candidat Macky Sall et qui pouvait s'oublier pendant un bon bout de temps, qui savait sacrifier ses nuits, parcourir le Djolof et aller dans les zones les plus reculées pour convaincre les plus sceptiques et apporter ce soutien si fondamental aux responsables de la coalition qui ne savaient plus à quel saint se vouer, organiser des meetings, des caravanes politiques, des séances de porte à porte et des visites de courtoisie. Il n'y avait que Samba Ndiobène Kâ pour le faire. "
Notre interlocuteur qui se réjouit des 81% engrangés pour le compte du Président Sall, de déclarer la guerre à ceux qu'ils considèrent comme " des vomis politiques adeptes de la tricherie et de la duplicité ayant choisi de se terrer dans les bureaux climatisés à Dakar loin des dépenses et la furie des militants pour ne réapparaître qu'aux lendemains du scrutin. " Le jeune leader de conclure en lançant un défi aux adultes : "Vous avez la capacité de remporter des joutes avec un score comme celui-ci? Vous avez toujours une base de militants solide dans le Djolof? Vous contrôlez toujours, comme vous le prétendez, le département de Linguère? Les prochaines échéances nous édifieront. Diantre, comment faire gagner un candidat dans un département, alors qu’on a failli perdre dans son propre fief (le taux de réussite est des plus faibles à Linguère). En atteste le tableau de pourcentage départemental..."
Les précisions sont de Amadou Thiam, jeune leader politique Apériste à Dahra.
Câblant Dakaractu, Amadou Thiam martèle qu'en " politique comme à la guerre, les victoires ne s'acquièrent qu'au front. Absents dans les moments les plus cruciaux de la bataille (convaincre les militants du Djoloff de l'élogieux bilan de Macky Sall), des habitués de l’après combat veulent s’autoproclamer vainqueurs sans avoir livré bataille. Mais à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire alertait déjà Corneille. Sur le terrain, nous n'avons vu que Samba Ndiobène Ka. Et ne pas le dire, serait trahir l'histoire. Notre coalition ne pouvait pas compter sur des leaders inconstants et sans conviction. Il nous fallait avoir un homme qui savait mettre en avant le candidat Macky Sall et qui pouvait s'oublier pendant un bon bout de temps, qui savait sacrifier ses nuits, parcourir le Djolof et aller dans les zones les plus reculées pour convaincre les plus sceptiques et apporter ce soutien si fondamental aux responsables de la coalition qui ne savaient plus à quel saint se vouer, organiser des meetings, des caravanes politiques, des séances de porte à porte et des visites de courtoisie. Il n'y avait que Samba Ndiobène Kâ pour le faire. "
Notre interlocuteur qui se réjouit des 81% engrangés pour le compte du Président Sall, de déclarer la guerre à ceux qu'ils considèrent comme " des vomis politiques adeptes de la tricherie et de la duplicité ayant choisi de se terrer dans les bureaux climatisés à Dakar loin des dépenses et la furie des militants pour ne réapparaître qu'aux lendemains du scrutin. " Le jeune leader de conclure en lançant un défi aux adultes : "Vous avez la capacité de remporter des joutes avec un score comme celui-ci? Vous avez toujours une base de militants solide dans le Djolof? Vous contrôlez toujours, comme vous le prétendez, le département de Linguère? Les prochaines échéances nous édifieront. Diantre, comment faire gagner un candidat dans un département, alors qu’on a failli perdre dans son propre fief (le taux de réussite est des plus faibles à Linguère). En atteste le tableau de pourcentage départemental..."
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